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TOP 10 des astuces pour sortir du burn-out
- Découvrir les causes et chercher si une solution peut être trouvée facilement
- Trouver un équilibre entre les tâches « ressourçantes » et les tâches « usantes »
- Profiter du forfait médecine douce des mutuelles
- Apprendre à déléguer sans en abuser
- Apprendre à ne pas se sous-estimer
- Se fixer des objectifs réalistes et précis
- Savoir dire « non »
- S’accorder des pauses
- Faire attention à son alimentation
- Ne pas se sentir coupable sans raison objective
1. Découvrir les causes et chercher si une solution peut être trouvée facilement
Les principaux symptômes du burn-out sont représentés par une fatigue profonde, une perte de contrôle et une dévalorisation de soi dus au surmenage. Prenez garde à ce que cela ne soit pas une conséquence de votre malaise, plutôt que sa source. En effet, une mauvaise définition de vos objectifs par votre management ou par vous-même fait entre autres partie des raisons qui vous poussent à vous tuer à la tâche. Prenez du recul sur votre situation afin de détecter les symptômes physiques et psychiques liés au stress, les origines de ce malaise et essayer de chercher des solutions pour résoudre réellement le burn-out. Engagez par exemple une discussion si cela vous semble approprié avec vos supérieurs, vos collègues ou vos proches sur des changements qui pourraient être facilement mis en œuvre et seraient profitables à tous.2. Trouver un équilibre entre les tâches « ressourçantes » et les tâches « usantes »
Rien de mal à vouloir être assidu et appliqué. Cependant, vouloir bien faire dans sa vie tant professionnelle que personnelle ne doit pas créer une victime collatérale : vous. Il se peut que vous ayez trop tiré sur la corde. Avez-vous mis de côté une activité qui vous tenait à cœur contre une meilleure productivité ? Essayez par exemple de vous concentrer sur quelques tâches qui vous procurent du plaisir lorsque la fatigue monte à cause d’un trop grand nombre de tâches fastidieuses à réaliser. N’oubliez pas aussi que prendre l’air est également un facteur de rendement. Saviez-vous par exemple qu’une sieste de 20 minutes fait significativement remonter les facultés intellectuelles, sans parler des bienfaits sur la fatigue !3. Profiter du forfait médecine douce des mutuelles
Renseignez-vous bien auprès de votre complémentaire santé. Il est en effet probable que le contrat de votre mutuelle prévoit déjà le remboursement des médecines douces comme l’ostéopathie, l’homéopathie, l’acupuncture, la sophrologie, la naturopathie ou encore la réflexologie plantaire. Tout dépend de l’organisme choisi et du contrat. Parmi celles qui proposent ce service, il y a notamment Aesio Mutuelle, CCMO Mutuelle, Identités mutuelle, la MFIF ou encore la MAAF. N’hésitez pas à comparer en un clic les mutuelles qui proposent un forfait médecine douce avantageux.>> Comparez les mutuelles santé <<
4. Apprendre à déléguer sans en abuser
Déléguer signifie plusieurs choses. D’abord, il s’agit de ne pas tout prendre pour soi, et de mieux organiser l’ensemble des tâches à faire pour réaliser les objectifs. Des personnes sont là pour vous aider : ne vous surestimez pas jusqu’à l’épuisement, cela revient souvent à dire que vous sous-estimez à l’inverse votre entourage. Dans le milieu professionnel, il s’agit donc d’une meilleure répartition des responsabilités. Faites de même à la maison ! Ensuite, déléguer permet de lâcher prise. Rien ne vous oblige à assumer le poids du monde. Attention, ne faites tout de même pas des autres vos serviteurs, le retour de bâton serait d’autant plus douloureux.5. Apprendre à ne pas se sous-estimer
Une personne qui se sous-estime est sujette plus facilement aux sentiments de culpabilité et est vulnérable face aux jugements extérieurs. Prenez conscience de votre valeur, et ce, même lorsqu’une situation imprévue, déstabilisante ou menaçante vous fait perdre pied. Vous n’avez pas besoin de vous juger vous-même et de vous mettre une trop grande pression pour avancer ! Lorsque vous avez le blues, repartez de fait concrets. Qu’avez-vous réalisé de positif aujourd’hui, ou cette semaine ? Quels ont été les effets positifs ? Ne vous punissez pas des échecs en restant paralysé, pensez plutôt à comment mieux faire ensuite ! La perfection n’existe pas.6. Se fixer des objectifs réalistes et précis
Avoir des objectifs réalistes ne signifie pas manquer d’ambition. Pour un projet, veillez à le découper en différentes étapes successives. Vous obtenez ainsi une vision progressive des choses à réaliser, et pouvez ainsi vous concentrer sur chacune de ces phases sans mouvement de panique. N’hésitez pas à les noter, et les marquer comme achevées au fur et à mesure, votre satisfaction grandira !7. Savoir dire « non »
Savoir dire « non », c’est en réalité apprendre à se connaître, à s’affirmer et à se dire « oui » à soi-même. Parfois en voulant bien faire, vous pouvez décider par exemple d’accepter une mission supplémentaire et vous retrouvez surchargé de travail avec pour conséquence une insatisfaction générale. A l’impossible nul n’est tenu. Ce conseil va également de pair avec la capacité à déléguer. Dire « non » n’est pas un aveu d’impuissance. Vous pouvez même refuser pour le bien de tous. En refusant la prise en charge d’une tâche qui n’est pas de votre ressort, il est possible que vous rendiez en réalité service à tout le monde. Dire « non », c’est non seulement accepter de ne pas pouvoir tout faire, mais aussi communiquer sur le fait que vous ne pouvez pas absorber sans raison tous les projets.8. S’accorder des pauses
Ne bannissez pas les pauses de votre vie. Voyez plutôt cela comme une respiration dans votre quotidien. L’acharnement à réaliser en flux tendu l’ensemble de ses tâches est une fausse bonne idée. Vous croyez en premier lieu que cela vaut mieux pour tout le monde. Pourtant, quand vient le syndrome du burn-out car votre corps et votre esprit ne sont plus capables de soutenir cet effort, il est déjà trop tard. Prendre des pauses, même minimes, est important pour votre santé physique comme psychique. Pendant ces moments de trêve, vous pouvez notamment pratiquer quelques exercices de sophrologie pour vous détendre pleinement. Prévenir plutôt que guérir !9. Faire attention à son alimentation
Cela ne signifie pas faire attention à sa ligne… Bien se nourrir, c’est aussi capter tous les nutriments que vous offrent les aliments. Les scientifiques ont en effet fait une grande découverte il y a quelques années : le ventre est en réalité notre deuxième cerveau de par ses 200 millions de neurones qui veillent à notre digestion et communiquent avec notre « tête ». Autant vous dire que celui-ci est tout à fait capable de jouer avec nos émotions. Les troubles digestifs sont ainsi souvent le reflet d’une alimentation perfectible en plus de la manifestation du stress. Pensez aux aliments alcalins, à éviter les sucres industriels, les laitages, cherchez à vous procurer les apports adéquats en vitamines et minéraux. Un naturopathe sera d’un excellent conseil ! Saviez-vous d’ailleurs que certains contrats de mutuelles permettent le remboursement des consultations diététiques ?>> Comparez les mutuelles santé <<